Critiques de notre temps

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La condition féminine

 

Réflexion quatre (19 novembre 2013)
Le socialisme ou la haine de l'autre.
Premières victimes des haines nourries par les socialistes : les Hommes ...

 

Le socialisme devrait être un humanisme. Seulement voilà, depuis le retour des socialistes à la tête de ce gouvernement, depuis même la campagne électorale de 2007 et de 2012, je me rends compte que le socialisme préfère s'attaquer aux uns et aux autres. Les seuls auxquels le socialisme ne s'attaque pas, ce sont les minorités : minorités de genre comme les homosexuels, minorités sociales comme les exclus ou les étrangers d'Afrique ...

 

Le projet de pénalisation des clients de prostituées criminalisation me pose, à moi comme à Elisabeth Badinter, un énorme problème de conscience. Et surtout, avec les méthodes de fascistes utilisées par les bien-pensants et bien-pensantes socialistes et féministes, il n'est pas possible pour un homme de s'opposer à ce projet de loi sans passer pour un énorme phalocrate et un esclavagiste.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/11/19/prostitution-l-etat-n-a-pas-a-legiferer-sur-l-activite-sexuelle-des-individus_3516107_3224.html

http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/11/12/ce-sont-les-acheteurs-de-sexe-qu-il-faut-penalise_3512622_3232.html

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/11/19/prostitution-les-deputes-renforcent-les-droits-des-victimes_3516715_3224.html

 

C'est une guerre déclarée aux hommes comme l'écrit Elisabeth Badinter ... Je suis totalement d'accord avec sa position. Les socialistes relaient les haines que portent les féministes et les esprits bien-pensants aux hommes.

 

Tous les hommes évidemment ne recourent pas aux services de prostituées. Evidemment ! Toutes les prostituées ne sont pas non plus des femmes, évidemment aussi ! Même si une très forte majorité des clients de prostituées sont des hommes !

 

Je ne me réfugierais pas derrière l'argument que des femmes aussi paient des prostitués, ou que la prostitution est parfois un choix librement consenti ... Se prostituer est clairement un choix terrible et présente un coût humain terrible. Et pourtant, il est également terrible de penser que parfois le choix de se prostituer puisse apparaître comme l'une des plus faciles solutions pour une fille de gagner de l'argent relativement facilement. Qu'elle est cette société qui n'offre comme seul débouché à des jeunes gens que la prostitution ou l'assistanat !

 

Je ne réagirais que sur le principe de la haine de l'homme que représente ce projet de criminalisation du client des prostituées. Le recours à la prostitution pour un homme est parfois la seule façon de pouvoir avoir accès à une relation sexuelle ! J'aimerais que les relations amoureuses soient tellement plus simples de telle sorte que tant d'hommes ne soient pas exclus des jeux sexuels. Que doivent faire tous les hommes auxquels le sexe est refusé, ou qui ne peuvent s'évader d'un couple mortel ? Si les rôles entre les sexes étaient plus équilibrés, si les hommes pouvaient aussi facilement trouver des amants que les femmes, si le regard de la société sur le sexe n'était pas aussi puritaine, alors oui, on pourrait criminaliser le recours à la prostitution. Mais ce n'est pas le cas !

 

Je vois bien le prochain combat des féministes et des esprits socialistes bien-pensants contre les Hommes : la criminalisation de l'infidélité masculine ! Clouer au pilori les hommes infidèles, sources de maladies vénériennes pour ces si douces et tendres épouses !

 

Et je me demande : pourquoi cette haine à l'égard des hommes ? Et pourquoi les socialistes participent-ils à ce genre de croisade anti-masculine, à ces interférences dans nos vies ? Avec le projet de mariage pour tous pourtant, il était interdit aux hommes de se juger ou de se mêler de la vie des autres sexes. Il devenait normal de se marier entre personnes homosexuelles, femmes ou hommes, et ce genre de relations amoureuses et sexuelles sont désormais présentées comme normales. Et pourtant, cela ne gêne les mêmes parlementaires, les mêmes féministes, les mêmes moralistes de vouloir condamner un homme qui aurait recours à une prostituée ? D'un côté, les homosexuels et homosexuelles (tantouzes ou gouines) doivent avoir le droit de vivre comme ils l'entendent. De l'autre, nous, les hommes, ces mêmes personnes veulent nous dicter et criminaliser notre sexualité ?

 

N'y a-t-il pas là une différence de traitement inexplicable ?

 

Esprits bien-pensants, moralistes et féministes de tout crin, halte à la haine contre les hommes ! Halte à la dictature des consciences ! Laissez-nous vivre notre vie comme nous l'entendons ! Laissez-nous vivre notre sexualité comme nous le souhaitons, de la manière dont nous le souhaitons !

 

 

Réflexion trois (31 juillet 2012)
Le débat sur l'abolition de la prostitution (féminine)

 

Pour cette réflexion, je m'appuierais sur un certain nombre d'articles de blog ou journalistiques. Et les articles traitant de la prostitution en Thaïlande me sont parus particulièrement éclairants sur certains aspects de cette question, ce qui se comprend si on se référe à ce que dit Michel Houellebecq et son livre «Plateforme».

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/07/23/apologie-de-la-prostitution-une-attitude-politiquement-incorrecte_1736508_3232.html

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/07/23/reconnaitre-la-prostitution-et-non-l-abolir_1736509_3232.html

http://sexe.blog.lemonde.fr/2012/07/28/prostituee-ou-travailleur-du-sexe/

http://www.thailande-infos.net/nuit-thailande/les-bars-a-filles-mode-demploi-pratique/7623/

 

Je ne comprends pas tout à fait l'argumentation de la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem et de ceux que s'appellent 'féministes', qui appellent à l'abolition de la prostitution et à la pénalisation des clients. Mais évidemment, je ne suis qu'un homme et je ne peux pas forcément les comprendre puisque je n'ai pas subi ce qu'elles ont vécu.

 

Entre parenthèses, Najat Vallaud-Belkacem pourrait aussi souhaiter l'abolition de la connerie humaine, et cela ne toucherait pas pour une fois que des hommes, vu ce que Ségolène Royal a sorti aigrement sur son ancienne porte-parole, selon laquelle «Najat Vallaud-Belkacem, qui fut longtemps une de ses fidèles, devait sa réussite avant tout à ses origines». Abolir la connerie humaine ou combattre l'aigreur des mesquins ? «Elle s'appellerait Claudine Dupont, elle ne serait peut-être pas là. Elle doit assumer son identité et en être fière». Aigreur d'une ancienne 'ex-future présidente présidente de la république' battue à plate couture et privée de toute possible ambition ministérielle ?

http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/07/27/royal-sur-vallaud-belkacem-elle-s-appelerait-dupont-elle-ne-serait-peut-etre-pas-la_1739427_823448.html 

 

Que recouvre la position des féministes sur la prostitution ? Elle me semble vouloir en faire porter la faute et la responsabilité sur l'espèce masculine, et à lui en faire payer le prix. Si l'homme n'avait pas des pulsions malsaines, il n'y aurait pas de prostitution et la femme serait libre de son corps ! Au fond, cela me semble plus ou moins vrai ! De la même manière que si des femmes ne répondaient pas à ces pulsions sexuelles masculines, il n'y aurait pas non plus de prostitution, de relations adultérines ni même probablement de pulsions masculines. Il me semble donc vraisemblablement difficile de mettre la faute sur l'une ou sur l'autre de ces deux espèces humaines (l'homme et la femme) condamnées à vivre ensemble et à se supporter pour se perpétuer.

 

Je ne peux pas ainsi accepter la position des abolitionnistes du parti socialiste, même s'il n'y est pas simple voire même difficilement justifiable, d'exposer une position contraire sur ce sujet, pour la raison qu'il est difficile de se déclarer en tant qu'homme favorable à la prostitution, sans être soupçonné immédiatement d'être un consommateur putatif.

 

Et en même temps, je reconnais que recourir à la prostitution repose pour partie sur des bases de perversion (qui est une maladie) et sur une chosification, une réification, une réduction de la femme au statut de simple objet de plaisir. Mais cette dégradation de la femme et de la dénaturation des sentiments ne concernent pas que la prostitution. Elle concerne de très nombreuses relations sexuelles entre hommes et femmes, en dehors du mariage ou dans le mariage. Ce n'est pas pour un homme le fait de payer pour une relation sexuelle tarifée qui dénote une vision dégradante de la femme. L'homme marié qui obtient d'une partenaire de passage un acte sexuel, en absence d'amour, n'a-t-il pas le même manque de considération pour la femme en général ? L'étudiant qui couche avec une fille pour épater (ou non) ses copains n'est-il pas lui aussi dans le même travers. Et quelle différence cela fait-il s'il paye ou non pour cet acte sexuel ? Et en sens inverse, ne peut-on pas dire la même chose de nombreuses femmes qui peuvent aussi avoir des relations sexuelles sans amour véritable pour leur partenaire ? Mais au fond, une bonne partie des couples ne naissent-ils pas de ce genre de tentatives, d'essais de l'autre ?

 

Que veulent les féministes ? Défendre le droit des femmes à contrôler leur corps ? Attaquer et éliminer l'homme parce qu'il représente un danger pour les femmes ? Instaurer un contrôle des pensées pour interdire tout acte sexuel qui ne reposerait pas sur des sentiments véritables ? Se contenter d'interdire la prostitution puisque ces actes-là au minimum se font sans sentiment véritable ?

 

Je me contenterais de ce que je connais, donc de la part du côté masculin dans la sexualité. Je reconnais que l'usage de la prostitution repose sur un ravalement de la femme au statut d'objet de plaisir. L'homme cherche son seul plaisir (fugace) dans ce réceptacle (terme biblique). Et au fond, il n'y a pas de grande différence entre l'usage d'une prostituée et le recours à une amante d'un jour ou de quelques années. Et au fond avec sa propre femme ! La différence n'est qu'une question de possibilités et de graduations. Graduation des sentiments, graduation de l'attention à l'autre, au plaisir de l'autre, graduation dans l'entretien d'une relation dans le plus ou moins long terme, graduation entre le plaisir sexuel et l'amour véritable.

 

Au fond, dans mon esprit, pour les féministes, vouloir abolir la prostitution, c'est vouloir abolir le sexe, puisque la prostitution n'est qu'une graduation de la sexualité ... Ce que je comprends venant d'une féministe puisque le sexe en lui-même est un acte profondément inégalitaire, entre l'homme et la femme, un acte de pénétration, d'envahissement de la femme par l'homme, de la femelle par le mâle ... Les féministes ne seraient-il que des adeptes de l'abstinence, qui est bien un droit de libre usage (ou non-usage) de son corps, comme les plus purs des puritains anglo-saxons ?

 

Je reconnais que l'homme en tant que touriste sexuel (prédateur sexuel) tente simplement de profiter d'opportunités à bon marché lorsqu'il cherche son plaisir sexuel à l'étranger dans des pays à faible pouvoir d'achat, même s'il tente parfois de se réfugier derrière de pseudos excuses bidons comme de sauver des malheureuses de la misère par leur argent ... Il est ainsi excessivement amusant de savoir que certains d'entre eux se font dépouiller gentiment, victimes de leur propre crédulité sur leurs charmes ravageurs. Mais pour quelques centaines de 'victimes' idiotes, combien y a-t-il de profiteurs sans vergogne ?

 

Pour reciter Michel Houellebecq et son roman «Plateforme», «on retrouve l’archétype de ce type de vacancier minable dans le personnage central du roman , où le plongeon dans le sexe et le voyage permet au touriste quelconque d’avoir l’impression d’être quelqu’un d’autre que l’employé soumis et l’homme sans qualités qu’il est dans sa morne vie quotidienne».

http://www.monde-diplomatique.fr/2006/08/MICHEL/13831

 

Mais cette vision réaliste du vacancier minable standard (franchouillard) ne se limite pas au tourisme sexuel. Cela concerne plus généralement le tourisme tout entier, avec sexe ou sans sexe, masculin ou féminin. Ils recherchent dans les vacances un exutoire à leur vie morne, et ils ont besoin de se sentir importants, dans les hôtels ou en croisière pour pauvres, pour en avoir pour leur argent. Cela la misère des pays qu'ils visitent qui leur fait supporter leur vie morne et grise. Passer leurs vacances dans une région plus riche qu'eux, sans misère, au milieu de gens riches, sans considération pour la mesquinerie de leur existence, serait pour eux la catastrophe ultime.

 

Mais de là à vouloir abolir la prostitution ou condamner pénalement les hommes consommateurs (ou les femmes parfois !) de ces plaisirs tarifés, il y a un cap que je ne me vois pas franchir. Car aussi dépravés qu'ils soient, les hommes ne sont pas seuls responsables de cet état de fait !

 

Pourquoi des hommes sont-ils contraints de chercher auprès de prostituées françaises ou étrangères des plaisirs sexuels, une excitation sexuelle, qu'ils ne peuvent pas trouver auprès de leur femme, auprès d'amies, de connaissances ou simplement de rencontres de passage ou de hasard ? Il n'y a que deux explications. Soit les hommes sont naturellement des pervers et cela s'aggrave avec l'âge ! Probable !Soit il y a un problème de communication entre les hommes et les femmes, dans les couples et dans leurs inter-relations tout court, qui leur interdit toute possibilité de communication et de rencontre ; chacun se retrouvant coupés de l'autre sexe. Et à mon avis il y a un peu des deux explications dans les causes de recours des hommes (mais également des femmes d'un certain âge ... car comme l'écrit l'anthropologue Franck Michel dans le Monde diplomatique : «on peut désormais établir une sorte de cartographie du tourisme sexuel : les femmes vont à Goa, en Inde, en Jamaïque, en Gambie ; tandis que les hommes préfèrent les pays du Sud-Est asiatique, le Maroc, la Tunisie, le Sénégal, la République dominicaine, Cuba, le Panamá, le Surinam, le Mexique, sans oublier le Brésil») à la prostitution ! .

  

 

Réflexion deux (7 novembre 2011)
De l'exagération des 'violences' reprochées aux hommes

 

J'estime que les violences faites aux femmes sont inacceptables et qu'il y a quelque chose de malsain dans la capacité innée de violence de l'être humain de sexe masculin. Toutefois, je vais dire immédiatement le contraire de mes écrits précédents par réaction à la manifestation qui s'est tenue samedi 5 novembre à Paris pour réagir justement à ces violences, mais également à l'affaire Dominique Strauss-Kahn. Certains des propos entendus hier par le biais des journaux télévisés, notamment de la part de Clémentine Autain, du Front de Gauche, m'ont particulièrement énervé. Clémentine Autain ne s'attaque pas seulement aux violences réelles subies par les femmes mais généralisait dans ce que j'ai compris de ses propos à l'ensemble des remarques qui peuvent être faites aux femmes, comme des commentaires sur leur robe ou leur tenue.

 

Evidemment, Clémentine Autain ne représente pas de manière générale la manière de penser des femmes dans leur ensemble. Elle n'est pas leur représentante officielle. Pourtant, ce que j'ai entendu de ce qu'elle disait me paraît outrancier, notamment par l'impossibilité de tracer une limite nette, indiscutable, entre ce qui serait de la drague, voire un simple compliment, de ce qui serait une violence faite aux femmes. Au fond, ce qui distinguerait les deux, violence ou drague ou compliment, ne consisterait qu'en la façon dont cela serait reçu par la femme. De sa réaction dépendrait l'existence de poursuites judiciaires.

 

Je veux bien que l'affaire DSK fasse réagir les féministes de tout poil. Je veux bien qu'une féministe patentée, qu'une égalitariste communiste forcénée, comme un membre du Front de gauche, estime comme totalement déplacée le moindre compliment ou la moindre différence entre une femme et un homme. Je veux même comprendre que Tristane Banon soit remontée contre tout ce qui puisse représenter un homme ... Mais ce qu'elles attaquent me rappelle trop la situation juridique américaine qui transforme tout regard, toute parole échangée entre un homme et une femme, comme une potentielle agression sexuelle ou un potentiel harcellement sexuel. Et ce qui me surprend encore plus dans la situation américaine, c'est qu'il puisse encore y avoir des jeunes qui se rencontrent et des relations extra-conjuguales.

 

Alors oui, les violences dont sont victimes les femmes dans le monde entier, et en France également, sont totalement inacceptables et doivent être combattus violemment. Effectivement, l'homme a un problème de violence qu'il faudrait réussir à faire traiter ; violence que je ne comprends pas ; violence qui touche tout particulièrement les femmes, mais pas uniquement ... et qui pourrait concerner de très nombreux hommes, pourtant tout à fait présentables et normaux, placés dans certaines situations particulières (guerres, réactions en groupe ...) ... Mais en même temps, il me semble extrêmement dangereux de généraliser à toutes les interactions hommes-femmes les situations potentielles de violence (comme de simples compliments) ou de faire disparaître toute trace de la présomption d'innocence pour les hommes qui seraient accusés de viol ou d'agression sexuelle, voire même de modifier les délais de prescription pour les aligner sur les crimes.

 

Ce vingtième-et-unième siècle sera puritain ou bien sera islamiste ...

 

 

Réflexion une (3 août 2011)
Les violences faites aux femmes

 

Les meurtres et viols dont ont été victimes deux jeunes femmes françaises, Houria Moumni et Cassandre Bouvier, âgées de 24 et 29 ans, en Argentine en début de semaine, nous rappelle une horrible évidence : le fait que les femmes sont trop souvent les victimes de violence du fait des hommes. L'actualité est trop souvent occupée de faits divers qui en deviennent banaux par leur régularité, par leur répétition : jeunes femmes retrouvées mortes après avoir été violées lors d'un jogging parce qu'elles ont croisé un violeur récidiviste récemment libéré de prison et sans suivi psychiatrique ... jeunes femmes assassinées par un ex-petit ami ou un ex-mari jaloux qui ne supportait pas une séparation ou bien le fait qu'elle refasse sa vie ... femmes battues par leurs conjoints qui se vengent sur elles de la banalité de leur vie, des humiliations qu'ils subissent le reste de la journée, qui cherchent dans l'alcool ou la violence un antidote à leur médiocrité ...

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/08/02/touristes-francaises-tuees-en-argentine-un-nouveau-suspect-arrete_1555452_3222.html

 

Bizarrement, l'homme use facilement de la violence dans ses relations avec les femmes, comme si la violence était la seconde nature de l'homme ... Cette préoccupation dans mes réflexions n'est évidemment pas nouvelle ... Un certain nombre de mes précédents écrits tournent autour de la violence faites aux femmes  ... par exemple lorsque je réfléchissais au racisme ou à l'esclavage dont furent victimes autrefois les races noires ... ou à la guerre ...

 

Sans être extrêmiste dans le féminisme, on ne peut que se réjouir que des manifestations aient lieu un peu partout dans le monde pour revendiquer un autre regard vis-à-vis des femmes, pour que le machisme disparaisse, pour que les discriminations cessent, pour que les viols s'arrêtent, pour que les violences faites aux femmes ne soient plus qu'un mauvais souvenir, dans une société enfin égalitaire et humaine ...

 

Lister les violences dont les femmes sont les victimes a-t-il un sens ? Je m'y essayerai pourtant ...

 

 

Saucratès



03/08/2011
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